( 28 mars, 2023 )

Le Comte de Paris a guidé une délégation de la Brigade de Gendarmerie de Dreux pour une visite commentée du domaine royal.

 

 

 

Présence des Princes à Dreux

Mardi 14 mars, dans le cadre du programme « La Nation en Partage » auquel participe depuis plusieurs années l’Association Gens de France, Monseigneur le Comte de Paris a guidé une délégation de la Brigade de Gendarmerie de Dreux lors d’une visite commentée du domaine royal.

À l’occasion du vernissage de l’exposition « Arts Textiles » à l’Artsenal de Dreux samedi dernier, Madame la Comtesse de Paris a pu quant à elle admirer les nombreuses œuvres ainsi que le défilé des jeunes mannequins d’Eure-et-Loir portant des créations de l’école de mode de Tours.

Accompagnée de ses enfants, la Princesse est venue à plusieurs reprises à Paris, pour rendre visite à Madame la Duchesse de Montpensier ainsi qu’à Monseigneur le Duc d’Angoulême et à son épouse Madame la Duchesse d’Angoulême.

( 7 mars, 2023 )

PRESSE ET LIBRAIRIE

 

 

FRANCE CATHOLIQUEHOMMAGE A BENOÎT XVILe n°, 1,50 € – abonnement : 55 € – 21 rue de Varize, 75016, Paris.

 

 

Cet hebdomadaire de grande qualité nous a produit un numéro (le 3795) daté du 6 janvier 2023 consacré au Pape Benoît XVI. Vous y trouverez entre autres des articles de Gérard Leclerc, Jacques Trémolet de Villers, un entretien avec le Père Abbé du Barroux… Un numéro à lire et à ranger dans votre bibliothèque.

 

LA TERRE PLATE – de Violaine GIACOMOTTO-CHARRA et Sylvie NONY -  Editions les Belles Lettres  – 278 pages – 19 €

 

Il nous est habituel d’entendre ou de lire dans les medias qu’au Moyen Age tout le monde ou presque pensait que la terre était plate car l’Eglise catholique le disait. Pire, elle aurait fait en sorte que la vérité – la terre est ronde – pourtant connue dès la Grèce antique, ne soit pas diffusée. Il se trouve même des scientifiques, des historiens pour entretenir cette fausse idée. Car tout est faux. L’idée que la terre est ronde que l’on connaît effectivement depuis la Grèce antique n’a jamais été contestée par l’Eglise. Dans ce livre, les auteurs retracent l’histoire de cette idée fausse, en fait inventée par Voltaire et reprise ensuite par tous les anticléricaux du XIX° et XX° siècle et encore aujourd’hui.

Ce livre est très utile pour montrer jusqu’où la propagande contre l’Eglise peut aller dans le mensonge pour essayer de la salir.

 

MONSIEUR HENRI – Henri de La ROCHEJAQUELEIN – du Baron Jean DE LA TOUSCHE D’AVRIGNY – Editions de Chiré – BP 70001, 86190, Chibré en Montreuil – www.chire.fr  – 368 pages – 29 €

 

 

Il s’agit de la réédition d’un livre paru en 1949 et qui avait reçu le Grand Prix Gobert de l’Académie française. Ce livre est très bien écrit et se lit « comme un récit haletant ». Comme l’écrit Philippe de Villiers dans sa préface, « c’est un récit incarné. L’auteur a vécu, pérégriné, séjourné dans toutes les contrées où il a suivi le jeune chef… ». Une biographie remarquable de ce jeune grand chef des armées Catholiques et Royales de Vendée. Récit remarquable qui fait comprendre et aimer ce jeune héros courageux et militaire de grand talent. Nous pourrons seulement regretter les jugements sévères, voire « injustes » sur d’autres chefs pourtant talentueux de cette  grande armée qui fit trembler les dictateurs républicains.

A se procurer rapidement pour le lire.

 

 

VAINCRE OU MOURIR : un film français de Vincent MOTTEZ et Paul MIGNOT, produit par Nicolas de VILLIERS, le Puy du Fou et Saje Distribution, avec Hugo Becker (Général François-Athanase Charette de La Contrie)

 

Première réalisation du Puy du Fou en association avec Saje Distribution. Il s’agit d’un grand film racontant la vie du général Charrette de la Contrie, l’un des grands héros de la guerre que menèrent les « Vendéens » pour Dieu, le Roi et la France contre les armées de la dictature républicaine. Ce film montre aussi les massacres ignobles que, sur l’ordre express, écrit, de la Convention, les troupes républicaines ont commis lors de ces années qui sont les « plus sombres de notre histoire ». C’est sans doute la raison pour laquelle il est peu dans les salles et qu’il fait l’objet d’attaques violentes de la part des médias et des personnalités de gauche qui montrent généralement par là leur ignorance historique crasse. Il semble, selon les premiers retours des salles, qu’il a un succès certain.

Un film à voir et à conseiller à tous vos amis

 

Jean NEDISCHER

 

 

PENSEES CHRETIENNES POUR TOUS LES JOURS DU MOI – de Dominique BOUHOURS – Editions Via Romana – 88 pages – 10 €

 

 

Ce livre est préfacé d’un avant propos du Vosgien Daniel HECK. Les deux postfaces sont dues à Jean-François Thomas et Fabienne Henryot. C’est une utile réédition du texte de Dominique Bouhours (1628-1702) qui a toujours les honneurs du Petit Larousse, qui précise : « grammairien et jésuite français. Il défendit la doctrine classique et la pureté de la langue ». Ces pensées sont « courtes et faciles ». Au fil des jours elles abordent différents thèmes comme la Foi, la fin de l’homme, le mépris du monde, la mort, les respects humains, etc. En voici quelques unes : on veut que tout profite, il y a de la peine à changer de vie, que deviendront les roseaux si le moindre vent renverse les cèdres ? Gardez-vous bien de vous apprivoiser jamais vous-même, ton chien est ton maître et ton juge. A l’occasion, l’auteur s’exclame : « Quelle injustice ! Quelle barbarie ! » ou « Chrétiens sans christianisme ! ».

Bouhours fut précepteur du fils aîné de Colbert en 1666, l’ami de La Fontaine, La Bruyère, Racine, Mademoiselle de Soudéry, Bossuet, Molière… ces méditations du « digne successeur de Vaugelas » s’adressent à des laïcs. Le militant est ouvert avec douceur et fermeté. Ses pensées sont un savant mélange de tradition et de nouveauté.

Bref, un petit livre d’une limpide profondeur à mettre dans toutes les mains d’hommes de bonne volonté.

 

 

Marcel CORDIER

 

 

Vous pouvez vous procurer tous les ouvrages présentés dans cet article à la Librairie des 2 Cités, 6 grande Rue à NANCY

 

( 12 août, 2022 )

PRESSE ET LIBRAIRIE

 

 

CAPITAL SOCIAL – n° 1 de Juin 2022 -  8 rue Monsigny, 75008, Paris – le n° : 9 €. Abonnement 2 ans : 59,60 €

 

Voici un nouveau trimestriel économique et social. Il porte en sous titre : « Ni finance folle ni lutte des classes, l’humain ! ». Il se rattache nettement à la doctrine sociale de l’Eglise.  Le Directeur de la rédaction est Joseph Thouvenel, ancien vice-président de la CFTC et son rédacteur en chef est Guillaume de Prémare d’Ictus. Tout ceci est un gage de sérieux. C’est d’ailleurs ce que l’on peut constater en lisant ce premier numéro par l’actualité qu’il déroule et son dossier sur le « travail du dimanche », ce scandale anti familiale et non justifié économiquement.

Voici une revue économique et sociale particulièrement intéressante, à diffuser.

 

HISTOIRE POLITIQUE D’ATHENES – de Lucien DUBECH –  Editions de Flore – 10 rue Croix des Petits Champs, 75001, Paris – 144 pages – 10 €

 

Ce livre est préfacé par Charles Laroche.  Il s’agit de la reproduction d’un cour donné par Lucien Dubech à l’Institut d’Action Française en 1926. Il analyse l’histoire d’Athènes et montre comment cette ville fascinante, qui fut puissante, dont nous sommes en parti les héritiers, est morte de la démocratie.

A lire absolument.

 

QR CODES ET BANCS PUBLICS – de Eric LETTY -  autoédition– 206 pages – 12 €

 

Nous connaissons bien Eric Letty, le journaliste de talent, éditorialiste de Monde et Vie. Le voici qui change de registre en produisant une excellente pièce de théâtre. Il s’agit de l’aventure de deux jeunes Français, Aucassin et Nicolette, amoureux qui veulent fonder une famille. Projet farfelu et scandaleux pour les chefs du régime comme Ducron, « pérubu de la République » et ses « sinistres » et affiliés. De plus, ces jeunes ne sont pas « vaccinés » !  Il s’en suit de nombreux dialogues savoureux et tout se terminera bien. Il faut lire cette pièce en espérant qu’elle sera bientôt jouée dans une salle par des acteurs de talent.

 

LES MYTHES DE LA GUERRE D’ESPAGNE – de Pio MOA -  Editions L’Artilleur  – 684 pages – 25 €

 

L’auteur est un ancien militant communiste espagnol qui fut membre de ses commandos armés à la fin du franquisme. Il se trouve qu’il s’est mis à étudier la guerre civile et ses causes. Il s’est aperçu que ce qu’il avait appris et qui est divulgué aujourd’hui en Espagne est en grande partie faux : la guerre civile commença en fait bien avant le coup de force d’une partie de l’armée par les massacres de catholiques et de personnalités de « droite » commis par la gauche avec l’aide du pouvoir « républicain ». Il décrit ensuite la guerre telle qu’elle s’est produite réellement et non selon les propagandes de l’un ou de l’autre côté.

Un livre qui rétablit des vérités qu’il faut lire absolument si l’on veut mieux connaître cette guerre civile qui a laissé tant de traces dans toute l’Europe.

 

BECHIR GEMAYEL – de Yann BALY et Emmanuel PEZE -  Editions PARDES  – 124 pages – 12 €

 

Béchir Gemayel est resté dans le souvenir de tous les amis du Liban comme un héros légendaire. Né 10 novembre 1947, il a été assassiné le 14 septembre 1982 alors qu’il venait d’être élu Président de la République. Les auteurs racontent toute sa vie, de sa jeunesse libanaise à son élection. Catholique convaincu et pratiquant, il a su diriger la résistance à la tête des « Forces libanaises » qu’il avait créé en regroupant divers groupes face aux Palestiniens, aux Syriens et leurs alliés. Dès sa campagne électorale pour les présidentielle, il sut regrouper autour de lui non seulement les Chrétiens mais aussi les musulmans qui virent en lui celui qui pouvait sauver le Liban. Certains ne l’ont pas voulu…

Les deux auteurs nous racontent son histoire et nous décrivent l’homme dans toute sa diversité. Il faut lire ce livre

A noter que les auteurs viendront présenter ce livre à Nancy le samedi 8 octobre prochain. Réservez dès à présent votre après-midi

 

Jean NEDISCHER

Vous pouvez vous procurer tous les ouvrages présentés dans cet article à la Librairie des 2 Cités, 6 grande Rue à NANCY

 

( 17 mars, 2022 )

PRESSE ET LIBRAIRIE N° 377

 

 

 

LA CRITIQUE SOCIALE DE RAYMOND RUYER – de Jacques CARBOU –  Editions du Verbe Haut – 408 pages, 28 €

 

Raymond Ruyer (1902 – 1987) est un grand philosophe. Il a écrit 23 livres, quelques 116 articles. Professeur à l’Université de Nancy, il a effectué de nombreuses recherches. Il fut proche de Raymond Aron qui publia dans la collection qu’il dirigeait un de ses livres au titre provocateur juste après mais 68 : Eloge de la société de consommation. Il est cependant très peu connu, peut-être parce qu’il n’était pas « dans le vent révolutionnaire » ! C’est un de ses élèves, lui-même Professeur de philosophie, qui a eu l’excellente idée d’écrire sur lui. Il a choisi de présenter ce qu’il disait sur « la critique sociale ». Elle reste très actuelle.

Ce livre vous aidera fortement à comprendre le monde d’aujourd’hui, dit moderne.

 

 

LE DERNIER CARRE – Sous la direction de Jean-Christophe BUISSON et Jean SEVILLIA -  Editions Perrin – 384 pages – 21 €

 

Pourquoi des hommes – et des femmes – continuent de se battre jusqu’au bout alors que tout semble perdu ? C’est la question à laquelle répond ce livre écrit sous la direction de Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia par de très bons historiens et/ou journalistes. C’est l’histoire de nombreux combats de toutes les époques : des Spartiates au Thermopyles aux « Frères de la forêt » luttant dans les pays Baltes contre l’Armée Rouge après 1945 en passant par les Jacobites, les Zouaves pontificaux, les Communards, les Russes blancs, les Kurdes…. Ils se battent pour l’honneur, afin de « sauver ce qui peut l’être », « offrir leurs vie » pour une cause supérieure ou tout simplement dans l’espoir de survivre ou que leur conviction soit reconnue. Les causes sont diverses comme les combats, mais ces combattants des « derniers carrés » forcent l’admiration.

Un livre à lire et à faire lire.

 

L’EVANGILE DE LA TABLE – de Jean-Marie CUNY -  Editions du Verbe Haut– 80 pages –19 €

 

Jean-Marie CUNY est un ancien cuisinier – un de ses livres les plus vendus est consacré à la cuisine lorraine -. C’est donc en connaisseur et en catholique convaincu qu’il s’est attaqué à un sujet peu développé à ce jour : la place de la table dans l’Evangile. Rappelons, pour commencer, que c’est au cours d’un repas de noce que Notre Seigneur Jésus-Christ a commencé sa vie publique. Et il y a de nombreux repas mentionnés dans les Evangiles. Jean-Marie nous les rapporte. Allant plus loin dans le temps, il nous conte entre autres comment les moines se nourrissaient et se nourrissent toujours. Bien entendu, il en profite pour nous décrire en passant quelques belles traditions culinaires lorraines.

Un livre plaisant, facile à lire et plein d’enseignements. Chacun doit le lire et le conserver précieusement dans la bibliothèque.

 

LES DIX COMMANDEMENTS DE L’HOMME POLITIQUE – de François GUILLAUME -  Editions Le Cherche Midi  –180 pages – 16,90 €

 

L’auteur, ancien agriculteur, fut président de la FNSEA, ministre de l’agriculture puis député français au Parlement Européen et enfin député de Meurthe et Moselle à l’Assemblée Nationale. Ce livre est le résultat de sa réflexion sur ce que devrait être un homme politique au vu  de son expérience et de son « bon sens » paysan. Ce bon sens dont devrait faire preuve les hommes politiques. Les autres commandements sont la compétence, la communication dont il faut éviter les excès, le courage, la probité, l’humilité, la tolérance, la mode à laquelle il faut faire attention,  la réalité, la fierté nationale. Sa démonstration est claire et nette et il remarque que ces qualités ne se retrouvent généralement pas dans nos hommes politiques et de moins en moins. Il cite de nombreux exemples !

Un livre à lire surtout en ces périodes électorales.

 

ANTOINE SCHWERER, 1862-1936, De la Royauté à la Monarchie – de François SCHWERER -  Editions de Flore  – 268 pages – 10 €

 

L’auteur est l’arrière petit fils de l’amiral Antoine Schwerer. Docteur en droit et économie des entreprises, il collabore à Politique Magazine et à la Nouvelle Revue Universelle. Ce livre retrace la vie de ce marin d’exception doublé d’un grand savant qui fit toute sa carrière dans la marine nationale – la « Royale » – jusqu’à occuper des postes importants durant la grande guerre : sous-chef d’état major général de la marine, commandant supérieur des flottilles de canonnières fluviales, chef de cabinet du ministre de la marine enfin commandant supérieur des patrouilles de l’Atlantique et de la Manche. S’étant rendu compte dans sa vie militaire de la nocivité des manœuvres politiciennes dans notre république, il s’engagea, en retraite, après avoir fait connaissance de Charles Maurras à l’Action Française. Il lui restera  fidèle malgré la condamnation par l’Eglise. Il en devint même le Président du Comité Directeur.

C’est toute son admirable vie qui est décrite ici. Nous y trouvons aussi d’utiles réflexions politiques de ce grand homme.

 

 

PETIT CYR A LA FERME et PETIT A LA MONTAGE – de Apolline DUSSART -  Editions des Petits Chouans – Diffusion de la Pensée Française, BP 70001, Chiré-en-Montreuil. www.petits-chouans.fr.  12 pages, 4,50 € l’exemplaire. La collection des 12 volumes pour 49 €

 

Apolline Dussart poursuit ici avec deux volumes la collection de ces petits livres pour les tout petits. Ils mettent en scène des jeunes enfants avec leurs parents dans la vie de tous les jours. A lire au moment de raconter des histoires aux petits en leur montrant les images car ils sont très bien illustrés.

A offrir aux jeunes parents ou grands parents…

 

 

Jean NEDISCHER

 

Vous pouvez vous procurer tous les ouvrages présentés dans cet article à la Librairie des 2 Cités, 6 grande Rue à NANCY

 

 

( 28 novembre, 2021 )

Livre : Le dernier carré, sous la direction de Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia

 

Lu sur « Boulevard Voltaire »

 

On l’appelle aussi un baroud d’honneur, ou bien le chant du cygne. La Garde meurt mais ne se rend pas, s’il n’en reste qu’un je serai celui-là. Tout est perdu fors l’honneur. La foisonne d’expressions pour décrire ce « dernier carré »,  et ce n’est guère étonnant au pays du panache, « l’esprit de la bravoure » comme disait Edmond Rostand. Ces « combattants de l’honneur et soldats perdus » auxquels rendent vingt-cinq récits historiques rassemblés par Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia ne sont pourtant pas tous français, loin s’en faut. Leurs causes, sublimées par leur sacrifice, sont aussi très diverses. Certaines nous parlent, d’autres beaucoup moins. Dois-je préciser que celle des cristeros m’est plus proche que celle des communards ? Qu’importe. Il n’est pas nécessaire d’y adhérer pour s’incliner devant ce qu’ils partagent : un concentré d’honneur et de sacrifice. Et c’est ce commun dans l’éclectisme voire l’opposition qui fait le charme singulier de cette lecture.

Selon la formule bien connue du chef gaulois Brennus, « Vae Victis ! », « Malheur aux vaincus ». Ils sont les grands oubliés puisque ce ne sont  pas eux qui ont écrit les livres d’histoire. Leur épopée a souvent été minorée, ou déformée. Cet ouvrage collectif leur rend aujourd’hui justice. Et qui mieux que les plumes prestigieuses de Sébastien Lapaque, Mathieu Bock-Côté, Thierry Lentz, Christophe Dickès, ou encore Jean-Pax Méfret – la liste n’est pas exhaustive -,  pouvait le faire ? Ne forment-ils pas eux-aussi à leur façon un « dernier carré », sans doute pas dans la poudre et le sang mais dans l’univers feutré des universités, des rédactions et des maisons d’édition ?

Au cœur de tout cela, on devine un mystère, presque sacré, plus fort que l’instinct de survie, un mystère qui pourrait être la frontière infranchissable entre l’homme de la bête.

Ce n’est pas sur les épisodes mis en lumière par un film, une chanson, une légende populaire que s’arrête ce livre. Si les Cadets de Saumur, Dien Bien Phu ou Camerone sont passés à la postérité, qui connaît Trébizonde ou le combat perdu de Stand Watie, Cherokee sudiste ?

« Si on doit un jour ne plus comprendre comment un homme a pu donner sa vie pour quelque-chose qui le dépasse, ce sera fini de tout un monde, peut-être de toute une civilisation », prophétisait Hélie de Saint-Marc. En ces temps où la comptabilité a pris le pas sur la spiritualité, l’utilité marginale sur la force morale, on peut se demander si cet héroïsme ne rime pas avec masochisme. C’est encore plus beau quand c’est inutile, disait Cyrano de Bergerac. Mais le beau est en soi utile. Par son exemple : Le dernier Carré s’ouvre en 480 avant Jésus-Christ sur le combat – la défaite – des Thermopyles et se termine en 2014 par la bataille de Kobané : une victoire, la seule de ce livre, contre les islamistes. En épilogue de cet ultime récit, on apprend, que pour la célébrer, les Kurdes ont érigé sur la grande place en reconstruction une statue monumentale de… Léonidas. Son sacrifice aux Thermopyles avec ses 300 meilleurs soldats pour sauver sa patrie, les a, disent-ils, inspirés. À méditer.

Gabrielle Cluzel

 Directrice de la rédaction de Boulevard Voltaire
Livre : Le dernier carré, sous la direction de Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia dans presse 2262096600
( 7 juillet, 2021 )

L’Afrique Réelle n°139 – Juillet 2021, par Bernard Lugan.

 

 

Lu sur « lafautearousseau »

L'Afrique Réelle n°139 - Juillet 2021, par Bernard Lugan. dans presse

SommaireActualité
Algérie : une polémique illustrant la fracture existentielle du pays

Dossier : Barkhane, une réussite militaire, un échec politique
- La question du Mali
- Les erreurs françaises
- Les deux guerres du Sahel
- L’embrasement du Burkina Faso
- Après avoir abandonné la Centrafrique, la France va-t-elle faire de même au Mali ?

Editorial de Bernard Lugan
La France en a l’habitude : ses Armées remportent des victoires que ses décideurs civils transforment systématiquement en défaites politiques. Ainsi en fut-il de l’Algérie, puis du Rwanda et aujourd’hui de la BSS où Emmanuel Macron a annoncé la fin de l’Opération Barkhane.
Depuis, la quasi-unanimité se fait dans les médias pour mettre en avant l’échec prétendu de cette opération militaire, ce qui est à la fois faux et mensonger.
Dans une zone d’action vaste comme une partie de l’Europe dans laquelle ne furent au  maximum déployés que moins de 5000 hommes à la fois, la moitié en protection d’emprises ou d’axes de communication, avec des moyens réduits et parfois même obsolètes, Barkhane n’avait pas pour mission d’apporter une solution à des problématiques ethno-raciales millénaires. Elle a en revanche parfaitement rempli la triple mission qui lui avait été ordonné de mener :
1) Perturber les mouvements terroristes, limiter leur liberté d’action, empêcher leur coagulation, éliminer leurs chefs. A cet égard, les résultats du GTD (Groupement tactique désert) Altor du 2e REP dans la région des « Trois frontières », loin  des camps de base, furent remarquables.
2) Rendre la plus hermétique possible la frontière entre la Libye et le Niger, afin d’éviter le réensemencement du jihadisme sahélien à partir du foyer libyen.
3) Empêcher la reformation d’unités jihadistes constituées.
Assurer la paix n’était pas dans la mission de Barkhane. Etablir la sécurité passe en effet par la construction des Etats, des armées et des administrations, c’est-à-dire par la recolonisation… ce qui  n’est pas exactement dans « l’air du temps »…
Au lieu de réfléchir à des solutions fondées sur le réel, les décideurs français n’ont eu qu’un seul remède à proposer, les élections. Or, ce système fondé sur le « one man, one vote » est d’abord une ethno-mathématique donnant automatiquement le pouvoir aux plus nombreux, en l’occurrence aux sédentaires Noirs sudistes, ce que les nomades ne peuvent accepter.
Une furieuse polémique sur fond de question kabyle a éclaté en Algérie. Noureddine Aït Hamouda, ancien député du parti  berbère RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) et fils du colonel Amirouche, chef emblématique du maquis kabyle de la willaya III, tué au combat le 29 mars 1959, a en effet qualifié de « traitres », entre autres, l’émir Abd el-Kader ainsi que les présidents Boumediene et Bouteflika.
En 2008, Nouredine Aït Hamouda avait déjà dénoncé les faux moujahidine légitimés par l’ONM (Office national des Moujahidine), 9/10e étant selon lui des imposteurs, ainsi que le chiffre de 1,5 million de morts causé par la guerre d’indépendance. Les œuvres vives du « Système » étant attaquées, sur plainte de l’ONM, Noureddine Aït Hamouda a été mis en prison.
Il va être de plus en plus difficile à un « Système » aux abois de cacher qu’il est l’héritier des auteurs du coup d’Etat qui, en 1962, renversa le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne), évinçant les combattants de l’intérieur essentiellement Berbères pour instaurer le régime arabo-musulman du FLN (voir à ce sujet mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.)
( 21 août, 2020 )

‘PRESSE ET LIBRAIRIE

 

 

LE MONDE D’APRES Cahier des éditions France-Empire 58-60 rue de Fontenay, 92350, Le Plessis-Robinson. Abonnement : 40 €

 

Voici une nouvelle revue trimestrielle dont le but est de faire « réfléchir en catholiques au monde d’après ». Nouvelle revue autour de la doctrine sociale de l’Eglise. Le numéro 1 est paru en Juin 2020. Elle comprend 80 pages. Le directeur de la publication en est Frédéric Aimard et nous y trouvons, parmi les rédacteurs, notre ami Gérard Leclerc. Le numéro 1 est consacré principalement à la notion de « revenu universel », et, d’abord doit-on dire « revenu universel » ou « salaire universel », ce qui n’est pas la même chose. L’étude est très sérieuse même si nous ne partagerons pas toutes les conclusions mais c’est une base de discussion sur l’avenir de notre société.

Revue intéressante à qui nous souhaitons une longue vie.

 

 

DE LA FRANCE D’ABORD A LA FRANCE SEULE L’Action Française face au national-socialisme et au troisième Reich – de Michel GRUNEWALD – Editions Pierre Guillaume de Roux,  348 pages – 27 €.

 

Voici un livre très bien venu. Michel Grunewald montre comment l’Action Française, depuis sa naissance, a toujours combattu le « germanisme ». Dès la victoire de 1918, elle a prévu le relèvement de l’Allemagne à cause du « mauvais traité », celui de Versailles, dénoncé en particulier par Jacques Bainville. De plus, le gouvernement républicain français favorisa le redressement économique et militaire de l’Allemagne, ce fut en particulier le cas de la politique désastreuse d’Aristide Briand. Le danger devint encore plus important lorsqu’Hitler prit le pouvoir. L’Action Française mena des campagnes pour le réarmement de la France afin de pouvoir repousser une agression allemande qui viendrait inévitablement, d’ailleurs annoncé par le dictateur allemand dans son livre « Mein Kamph ». La défaite arriva. L’A.F. soutint le Maréchal Pétain mais lutta pied à pied contre les collaborationnistes, de Laval à Déat en passant par Doriot ou Brasillach… Pour elle, la « France seule » devait compter. Ce livre montre bien que la pensée des dirigeants de l’A.F. fut toujours anti allemande, ce qui n’empêchait pas prendre exemple sur le redressement de la Prusse après sa défaite, occupé par la France de Napoléon. Elle sut, alimentée par la pensée de Fichte, se redresser et participer à la victoire contre l’empire français.

Livre instructif et à lire.

 

GENOCIDE EN VENDEE 1793-1794 – de Jacques VILLEMAIN -  Editions du Cerf, 672 pages – 25 €

 

L’auteur est un diplomate et un juriste, spécialiste du droit pénal international. Il a en particulier travaillé sur la notion de « génocide », concept né à la convention de l’ONU de 1948. Aussi, il écrit non en tant qu’historien mais en tant que juriste. Dans une première partie, il démontre pourquoi cette notion peut s’appliquer à un évènement survenu plus d’un siècle auparavant, comme il s’applique au drame arménien lui aussi antérieur à 1948. Dans une deuxième partie, il montre que les atrocités commises par les républicains en Vendée correspondent à la définition de génocide car il y avait bien intention criminelle ordonnée par le pouvoir. Dans une troisième partie, il explique pourquoi il n’ya pas eu de reconnaissance officielle de ce crime que l’on tenta même de cacher, même encore aujourd’hui. Enfin, dans une dernière partie, il nous démontre qu’il est nécessaire de reconnaître ce génocide, le premier et « père » de tous les autres qui ont depuis ont marqué l’histoire.

Un livre qu’il faut lire et faire lire.

 

 

LES GAULOIS REFRACTAIRES DEMANDENT DES COMPTES AU NOUVEAU MONDE – de Philippe de VILLIERS -  Editions Fayard -  152 pages – 15 €

 

Dans ce livre, nous retrouvons du « grand » de Villiers. Il s’y livre à une attaque violente mais juste de la politique ayant mené au fiasco que nous venons de vivre tout ce début d’année. Ce fiasco est du – en plus du manque de sérieux du gouvernement – à des dizaines d’année d’une mauvaise politique libérale anti française : seul le marché international devait compter, sacrifiant notre industrie, notre agriculture, notre patrimoine, ceci sur ordre de la technocratie bruxelloise, elle-même obéissant à la finance internationale. Selon ses promoteurs, cela devait amener à un monde plus prospère, plus juste. Et puis, un modeste virus a chassé toutes ces illusions, ce qu’avaient d’ailleurs prévu de nombreuses études, dont celles de notre armée (et d’autres armées dans le monde aussi !). Le pouvoir doit cesser de mentir en tentant de poursuivre la désastreuse politique qui a entraîné ce désastre sous couvert d’en « tirer les leçons ». Pour cela, il faudrait que nos gouvernants aiment la France et la fasse aimer, ce qui n’est pas le cas.

Il s’agit d’un pamphlet de haute qualité qui se lit d’un trait. Lisez le et faites le lire.

 

COMMENT ON RELEVE UN ETAT  – de Antonio de Oliveira SALAZAR -  Editions de Chiré, 112 pages, 13 €, BP 70001, 86190, Chiré en Montreuil – www.chire.fr

Il s’agit d’une réédition. Ce livre a été écrit en 1936, soit 10 ans après que le président Salazar, alors professeur d’économie de l’université de Coimbra, fut appelé à devenir président du conseil portugais par des militaires qui avaient pris le pouvoir. Salazar y fait le bilan de ses dix premières années à la tête de l’Etat. Il explique ce qu’il a fait pour redresser le pays et pourquoi, selon quels principes. Il montre comment il voulait à la fois garantir l’autorité de l’Etat et les libertés au Portugal même et dans l’Empire, pour permettre la prospérité et la paix. Ce fut une expérience intéressante réalisée par un homme qui fut sans doute un des plus grands dirigeant politique du XX° siècle.

Il y a des leçons à tirer de cette lecture.

 

Jean NEDISCHER

 

 

LA MICHE DE PAIN : Préparation à la Première communion  – de Christine de BAILLIENCOURT -  192 pages – 25 € – Editions ELOR Jeunesse, Diffusion de la Pensée Française, BP 70001, 86190, Chiré en Montreuil – www.elorjeunesse.fr

Miche de Pain à partager…

 

Dans les familles où on a le souci de la transmission de la Foi, on est un peu désemparé, surtout si, comme le plus souvent aujourd’hui, on habite une région où le prêtre a parfois une trentaine de paroisses à gérer.

Je vous dis cela parce que j’écoutais récemment de jeunes parents ne sachant comment faire pour expliquer le catéchisme de base à leurs enfants. Une jeune maman disait avoir entrepris des recherches pour retrouver le catéchisme qu’elle avait tant aimé, lu et relu, durant son enfance et qui avait pour titre La Miche de Pain, excellent ouvrage pour les jeunes années.

Ne pouvant compter sur la paroisse ni sur l’école, il lui fallait donc retrouver sa Miche de Pain, titre de la méthode d’enseignement catéchistique pour l’enfance.

« Mais, chère madame, cette Miche de Pain à partager existe bel et bien ! De plus, une toute nouvelle édition vient de sortir pour une bonne préparation à la Première communion. » L’ouvrage est très joliment illustré par Roselyne Lesueur. Les textes, parfaitement clairs et adaptés à l’enfance, ont été rédigés par Christine de Bailliencourt. Cette dame, mère de 10 enfants est la nièce de Marie Tribout qui avait réalisé en son temps les premières éditions à succès de la Miche de Pain. Bref, ce dernier petit volume cartonné, plaisamment illustré, devrait connaître un fameux succès dans les familles

 

Jean-Marie Cuny

 

 

 

( 16 juin, 2020 )

‘‘PRESSE ET LIBRAIRIE

 

 

 

RECONQUETE 70 boulevard Saint Germain, 75005, Paris – Bimestriel. Abonnement : 50 €, 5,5 € le numéro.

 

C’est une revue de très bonne qualité éditée par le Centre Henri et André Charlier et Chétienté-Solidarité. Elle est dirigée par Bernard Antony. Dans ce numéro 366 (Mars-Avril 2020), nous trouvons entre autres un dossier sur Erdogan, le président actuel de la Turquie, un autre sur l’idéologie dite « Chrislam » et sur le marxisme toujours vivant, toujours malfaisant. Bien entendu, vous trouverez les chroniques habituelles concernant la culture de mort et la liste des récentes persécutions contre les Chrétiens…

Je vous engage à vous procurer ce numéro.

 

PRESENT Hors Série –– Si MINUTE m’était conté – 5 rue d’Amboise, 75002, Paris. www.present.fr, 5 €

 

Minute fut un grand hebdomadaire qui participa à tous les combats pour la France depuis sa création, le 6 avril 1962. 2.959 numéros sont parus. Il a cessé de paraître. Nous n’étions pas toujours d’accord avec lui, mais c’est toujours un malheur de voir disparaître un hebdomadaire de cette qualité. Le quotidien « Présent » a eu la bonne idée de lui consacrer un « hors série » rappelant l’histoire de ce journal, de sa création par Jean-François Devay à sa disparition. Il y est rappelé un grand nombre de journalistes qui ont participé à sa rédaction comme ADG, Roland Gaucher, Jean-Pierre Cohen, Pierre-Jean Vaillard, Patrick Buisson, Jean Boizeau, Jean Bourdier, Serge de Beketch, François Brigneau bien sur (on trouveras un grand texte de lui)… et les dessinateurs Konk, Pinatel, Miège, Aramis…. Toute une époque ! Il faut savoir que Minute se vendait, à sa plus belle époque, à 250.000 exemplaires.

Ce « Présent hors série » en un numéro « collector »,  à se procurer au plus vite.

 

BANDERILLES, POUR OUVRIR LES YEUX – Aphorismes et arrêts sur image – de Louis POZZO DI BORGO – Editions Godefroy de Bouillon,  242 pages – 25 €. En vente aux Editions (119 rue Lecourbe, 75015, Paris – godefroydebouillon.fr)

119 rue Lecourbe 75015 Paris

Voici encore un très beau livre de notre ami Louis Pozzo di Borgo. C’est un militant royaliste qui a toujours combattu pour « Dieu et le Roi » aussi bien dans cette province française d’Algérie, d’Oran plus précisément,  où il est né et vécu  jusqu’au jour où un pouvoir républicain séditieux la livra à des tortionnaires révolutionnaires islamistes. Il a gardé une grande nostalgie de sa terre natale. Il fut aussi le proche collaborateur du prince Henri, comte de Clermont puis comte de Paris, duc de France. Il fut, et reste toujours, un fidèle combattant de la cause française et donc royale. Dans ce livre, il nous livre un grand nombre d’aphorismes « qui sont plus que des formules de sagesse universelle, l’expression condensée de ses nombreuses expériences et de ses réflexions profondes » comme l’écrit très bien Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine. Elles sont regroupées en 5 chapitres : La Famille, l’Histoire, la Politique, la Religion et la Société.

D’une lecture facile et agréable, pleine d’enseignements, voici un livre que vous devez lire et garder dans votre bibliothèque.

 

QUELLE ECOLOGIE POUR DEMAIN ?  – de Enzo SANDRE et Francis Venciton -  Editions de Flore, 162 pages – 210 €.  En vente aux éditions : 10 rue Croix des Petits Champs, 75001, Paris. editions@cercledeflore.fr

 

Livre de réflexions sur l’écologie des deux auteurs avec la participation d’autres personnalités. Il est préfacé par Jacques de Guillebon. L’écologie est un thème à la mode utilisée par de nombreux politiciens pour « gagner des suffrages » mais sans grand sérieux. Aussi, ce livre est utile pour faire le point. Utilisant la méthode de l’empirisme organisateur cher à Charles Maurras, les auteurs analysent l’histoire, les faits, les situations et proposent des solutions pour notre pays qui sont souvent peu compatibles avec la démagogie républicaine. Ce livre est à lire, à étudier et les auteurs attendent vos critiques, vos propositions, pour continuer à perfectionner nos analyses sur ce thème important qu’est l’écologie qui conditionne en grande partie notre avenir à tous.

 

PHILIPPE D’ORLEANS, comte de Paris – de Thibault GANDOULY -  Editions Via Romana -  386 pages – 24 €

 

Voici un très beau livre préfacé par le prince Jean de France, l’actuel comte de Paris. Thibault Gandouly nous retrace toute la vie de ce prince, de sa naissance en 1838 à son décès en 1894. Il est le petit fils du roi Louis-Philippe et s’il vécut une partie de sa vie en France, il connut l’exil sous la deuxième république, l’empire et la troisième lorsque celle-ci décida d’interdire le territoire français aux princes pouvant régner (lui et le Bonaparte). Après le décès du comte de Chambord, Henri V, et l’extinction de la branche ainée française des Bourbons, il eut la lourde tâche, avec l’accord du comte de Chambord, de prendre sa suite comme Chef de la Maison de France. Il aurait du régner sous nom de Philippe VII. Il s’acquitta fort bien de son rôle même si l’on peut contester sa stratégie électorale après coup mais il est toujours facile de « refaire l’histoire » ! Ce livre nous fait connaître un prince souvent méconnu qui aima passionnément la France et les Français, et qui aurait fait un très bon Roi et éviter à notre pays les tragédies que la république nous amena.

Lisez ce livre passionnant.

 

QUAND LA FRANCE ETAIT LA PREMIERE PUISSANCE DU MONDE  – de Raphaël CHAUVANCY -  VA Editions -  164 pages – 20 €

 

Voici un livre très intéressant qui démontre, contrairement à ce qui nous est enseigné par l’histoire « officielle », que la France, à la veille de la révolution dite française est la première puissance du monde. Elle l’est sur le plan militaire sur terre avec une armée puissante, bien équipée et bien commandée, et sur mer où elle vient de vaincre la puissante « Royal Navy ». Sa diplomatie est active, fort bien menée, neutralise l’Europe grâce à un savant jeu de bascule et d’influence. Le commerce est prospère, la flotte marchande française est présente partout. L’agriculture est florissante, la première d’Europe et son industrie rivalise avec celle de l’Angleterre dans tous les domaines et se développe rapidement (A titre d’exemple, la France produit en 1788 « de 130 à 140.000 tonnes de fonte et 90 à 100.000 tonnes de fer alors que la Grande Bretagne ne produit que 63.000 tonnes de fonte »). Par ailleurs, la France domine le monde intellectuel : le monde « parle français ». Il n’est pas étonnant que les anglais vont tout faire pour « aider voir provoquer » la révolution comme le démontre très bien Pierre Gaxotte : il fallait éliminer une puissance dangereuse pour elle. Elle y réussira car la France va s’écrouler avec la révolution suivie de Napoléon.

C’est pour cela qu’il faut acquérir et diffuser ce livre bien que certains jugements de l’auteur portant en particulier sur des personnes puissent parfois être un peu contestés.

 

PROJET DE SOCIETE – de Frédéric WINKLER -  Edité par le Groupe d’Action Royaliste – 400 pages – 22 € – actionroyaliste.fr

 

Ce livre a été écrit par Frédéric Winkler avec les participations de P.P. Blancher, François-Philippe P. et Jean-Philippe Chauvin qui a rédigé la préface. Il s’agit d’un projet complet d’une « nouvelle société ». Il est d’abord fait le constat de la faillite d’un régime républicain dans tous les domaines. Il établit par la force un faux « ordre », supprimant toutes les libertés réelles, locales, sociales professionnelles… faisant « sortir de l’histoire » notre France, produisant un art débile, un urbanisme massifiant, inhumain… Bilan accablant pour nos républiques et ses politiciens. L’auteur s’attache ensuite à montrer comment nous pouvons restaurer notre pays, lui rendre sa puissance et ses libertés au peuple français. Des propositions concrètes sont faites, des projets envisagés mais cela n’est possible qu’avec un Roi, raison pour laquelle il faut se prendre en main et militer pour que la France royale voie le jour. Un livre passionnant qui ne peut que redonner espoir à tous les Français. Bien sur, nous pouvons contester certaines propositions, comme celles sur le nucléaire, mais il s’agit d’envisager notre avenir dans une France libre pour des Français libres.

A lire et à diffuser.

 

CHARLES MAURRAS  – de Jean-Baptiste GEFFROY -  Editions de Chiré – 64 pages – 7,50 €. Editons de Chiré, BP 70001, 86190, Chiré en Montreuil – www.chire.fr

 

Ce livre est sous-titré : De la République au Roi. Un apologiste de la Monarchie. L’auteur est un professeur émérite de la Faculté de droit de l’Université de Poitiers. Il est un collaborateur régulier des revues Lecture et Tradition et Lectures Françaises. Il démontre dans ce livre l’influence importante et la force de conviction de Charles Maurras. Il utilise pour cela les relations et les échanges qu’il eut avec l’écrivain académicien de grand talent que fut Jules Lemaître. Ce républicain convaincu, de 15 ans l’aîné de Maurras et qui devient un de ses amis, se laissa finalement convaincre et conclut à la nécessité de la monarchie. C’est avec cette force de conviction que Maurras sut convaincre énormément de personnes, qu’elles soient catholiques, protestantes, juives, incroyantes, républicaines, …

Un livre intéressant par son approche.

 

BLANQUER n’est pas celui que vous croyez  – de Claude MEUNIER-BERTHELOT -  Editions du Verbe Haut, BP 57, 54210, Saint Nicolas de Port – 15 €

 

Madame Claude Meunier-Berthelot est juriste de formation, diplômée de l’Université de Panthéon-Assas. Elle a fait toute sa carrière dans l’Education Nationale. Elle nous livre là son avis sur l’action du ministre Jean-Michel Blanquer que beaucoup considèrent comme un personnage de qualité, rompant avec le laxisme de ses prédécesseurs. Elle montre qu’il n’en est rien : ce ministre poursuit la politique désastreuse de ses prédécesseurs qui est de mettre en action petit à petit – depuis la fin des années 40 – le fameux plan communiste dit « Langevin-Wallon ». Ainsi, il poursuit la « primarisation » du collège, ne fait pas les réformes pouvant remettre à niveau l’enseignement de base des enfants en primaire, au contraire. Elle s’appuie sur les documents du ministère pour sa démonstration qui est probante.  Elle montre aussi qu’il veut imposer – comme les autres – la propagande républicaine, l’histoire anti française,  mais aussi le laïcisme le plus sectaire, très anti catholique en facilitant  la propagande LGBT, sur l’avortement… Toute cette partie est bien démontrée. Là où elle est moins convaincante, c’est lorsqu’elle critique l’accent mis sur l’enseignement dans les banlieues difficiles : elle dit que Blanquer veut y réaliser un « enseignement d’excellence », ce qui n’est pas le cas car il ne sera pas meilleur qu’ailleurs même s’il y a des classes avec moins d’effectif, ce qui n’est pas critiquable en soi. Là où elle est mauvaise, c’est lorsqu’elle critique les écoles « Espérance banlieues » qui vont, dit-elle, dans le sens de Blanquer. Or, ces écoles font un excellent travail et font ce que devraient faire l’éducation nationale : non seulement donner un enseignement de qualité mais aussi faire aimer la France à tous ces petits et cela contrairement à l’enseignement public. C’est comme cela que l’on peut espérer intégrer ces enfants dans notre nation.

 

LE FILS D’UN ROI  – film de Cheyenne-Marie CARON -  Edité par Hésiode – à commander à www.cheyennecarron.com 28 €  port compris

 

Cheyenne-Marie Caron est une cinéaste de grand talent qui est une des rares – sinon la seule -  à écrire l’intégralité de ses films, sans l’aide d’un scénariste. Nous lui devons déjà de très beaux films comme L’Apôtre (2014), Patrie (2015), Jeunesse aux cœurs ardents (2017)… Voici qu’elle nous en livre un nouveau qu’il faut voir : Le Fils d’un Roi. Il s’agit de l’histoire d’un fils d’ouvriers, Kevin. Il a 17 ans et il suit des cours dans un lycée de banlieue. Son meilleur ami, un marocain, lui parle des bienfaits de la monarchie dans son pays. Il en parle aussi en classe devant un professeur d’histoire très républicain. Peut-être par provocation, comme la révolution est au programme, ils proposent ensemble de faire un exposé. Dans leurs recherches, ils s’aperçoivent que les Français bénéficiaient sous la monarchie de beaucoup de libertés que la révolution a supprimées : possibilités de s’associer, de défendre leurs intérêts, qu’ils avaient beaucoup de jours de congé en plus des dimanches etc. Toutes choses que la révolution supprima ce qui entraîna la création du « prolétariat » exploité par les tenants du libéralisme. Il faut voir comment leur exposé fut très mal reçu et même écourté par un enseignant « catastrophé » au point d’en parler avec ses collègues… Il y a là une très bonne description de notre monde enseignant qui en arrive à croire la « propagande » qu’il diffuse mais… pas tous !

Mais de divulguons pas tous ce film qu’il faut vous procurer pour le visionner et le faire visionner à vos amis.

 

Jean NEDISCHER

 

Lectures actuelles

 

La plupart des lecteurs de la Lorraine Royaliste connaissent, bien sûr, la Diffusion de la Pensée Française, leur excellent catalogue de bons livres par eux diffusés et la revue Lectures Françaises (demandez leur catalogue : DPF 86190 Chiré en Montreuil).

Moins connu est l’AFC (Action Familiale et Scolaire) qui présente dans sa revue trimestrielle les thèmes particulièrement marquants d’une actualité qui restera marquée dans le temps. Le récent numéro est particulièrement intéressant (n°268). Les thèmes retenus sont essentiels : L’enterrement de Jacques Chirac : un scandale canonique ; l’Etat contre l’école à la maison ; 70 ans de combats pour la famille et l’école ; considérations sur le Service national… Et même une excellente étude sur les caractères humains et les tempéraments par l’excellent abbé John Brucciani … (commandez cet intéressant numéro à A.F.C. -BP 80833-75828 Paris cedex17. Envoi contre la somme de 15 euros).

La Nouvelle Revue Lorraine (n°57) (1) évoque, parmi la variété de ses articles, la lecture pour les temps de confinement… 

Jean-Marie Cuny

(1) 10,50 € le numéro. Abonnement (4 n°) : 38 €. S

( 29 mars, 2020 )

Englués

 

 

Englués dans presse logo_pm_01

 

 

Nous vivons des moments passionnants. Le système va-t-il exploser ou se maintenir, évoluer ou revenir à son équilibre dément ?

Cette pandémie est unique par tout ce qu’elle met à nu : les vices de la mondialisation, l’aveuglément des élites humanistes, la crispation idéologique de l’Union européenne, l’incurie française, les mensonges de la technocratie, l’égoïsme des politiques, la fragilité de nos économies, la dictature du sentiment… Car à quoi bon nous faire applaudir des médecins et des infirmières qu’on ne peut pas, qu’on ne sait pas, qu’on ne veut pas équiper ? Pourquoi invoquer sans cesse la science comme boussole quand la même science, ailleurs, indique un nord différent ? Pourquoi avoir nié la crise de longues semaines, de long mois, pour reprocher ensuite aux Français leur inconscience ?

Pour justifier que tout change pour que rien ne change. Voilà Macron, encore une fois, capable de nous expliquer qu’il est l’homme providentiel quand il est clair que lui, ses ministres et leurs conseils ont précipité la France dans une telle ornière qu’on n’imagine pas comment en sortir. Les administrations sont incapables de réagir, elles découragent les bonnes volontés privées qui se manifestent, n’imaginent rien de mieux que d’expédier à la campagne les chômeurs, mettent en place des consignes contradictoires et tatillonnes, qu’une police applique, selon les cas, avec une sévère idiotie (cette femme verbalisée pour être allée abreuver ses chevaux en pleine campagne, sous prétexte que ce n’était pas vital !… pour ne citer que ce cas) ou un laxisme nonpareil, comme à Saint-Denis, où les journalistes suisses du Temps décrivent un territoire qui n’est pas régi par les même règles.

Macron chef de guerre !

Mais on nous assure qu’il y aura un avant et un après et que cet après ressemblera de très près à l’avant : l’État sera plus féroce, les services publics seront encore mieux déréglés, l’Union européenne sera encore plus forte, la France sera encore plus affaiblie, et tout cela est supposé nous assurer que tout est géré à merveille, la merveilleuse Sibeth expliquant imperturbablement que tout est sous contrôle, mieux, que personne n’aurait su mieux faire, à aucun moment. On aurait dû retrouver le sens des frontières, celui de la souveraineté nationale, celui du bien commun, on aurait dû retrouver le sens commun, mais non ! Le président et ses troupes s’agitent dans un univers parallèle où la justice leur garantit qu’ils sont intouchables, où le régime leur promet l’impunité, où l’opposition politique est paralysée par le souvenir de ses insuffisances et incompétences passées, où l’Union européenne est l’horizon du salut.

Et Macron s’agite ! Il explique aux Français qu’ils sont en guerre, qu’il est un chef de guerre, qu’il a la stature des illustres qui ont su se dresser face à l’adversité, qu’on va voir ce qu’on va voir, qu’il prépare une « nouvelle initiative importante » avec Trump ! (en gros, les structures déjà en place vont continuer à se réunir…) et qu’il va adresser à l’Europe un de ses sermons qu’elle a appris à goûter si fort – et qui ne produisent jamais aucun effet. L’Europe n’en peut plus de Macron et de la France, de ce pays qui prétend donner des leçons scientifiques et n’est pas capable de comprendre rapidement que fermer ses frontières, dépister les malades et équiper les autres de masques étaient des solutions si évidentes que tous les pays les appliquaient au fur et à mesure que l’épidémie enflait. L’Europe contemple avec effarement ce jeune coq dressé sur son pays confiné dont il achève de ruiner l’économie pour pouvoir prétendre n’être responsable d’aucun mort.

L’Europe contemple avec inquiétude ce chef d’État qui n’aime ni son pays ni ses compatriotes, qui leur en veut de présenter, depuis bientôt deux ans, le spectacle de leur indiscipline, contrepoint de sa propre incapacité à réformer. L’Europe politique se demande si Macron mesure le caractère aberrant de son ambition européenne, lui qui n’est pas capable d’administrer son pays et n’a toujours pas compris que les Allemands mènent une politique allemande – Merkel a rejeté les “coronabonds” de Macron –, même et surtout à Bruxelles, que les Anglais mènent une politique anglaise, et les Hongrois une politique hongroise, et les Suédois une politique suédoise. Macron n’en a cure. Il avance démasqué, ivre de lui-même et de ses chimères. Qu’importe la France.

Philippe Mesnard

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( 17 mars, 2020 )

Presse et Librairie (n° 360 de la Lorraine Royaliste)

 

 

LE FIGARO– Hors série JESUS CHRIST, cet inconnu – 14 boulevard Haussmann, 75009 Paris – www.figarostore.fr/ hors-série. Ce numéro 12,90 €. 172 pages.

 

Cette très belle revue est réalisée en partenariat avec  l’Ecole biblique de Jérusalem. L’excellent éditorial est écrit par Michel de Jaeghere. Nous y trouvons un nombre impressionnant de grandes signatures (archéologues, biblistes, historiens et théologiens) que je ne peux toutes citer faute de place. Toute la vie de Jésus est passée au crible, de sa naissance miraculeuse à sa mort sur la croix et sa résurrection. Les 7 erreurs les plus citées sur Lui sont passées au crible et la vérité rétablie.

Ajoutons que ce numéro spécial est très bien illustré.

Vous devez l’acquérir pour le lire

 

 

L’INCORRECT –– 28, rue Saint Lazare, BP 32149, Paris cedex 09, Paris. 5,90 €

 

Je vous ai déjà présenté cette belle revue de très grande qualité. Dans le numéro de Février 2020, il s’y trouve une grande enquête sur les Royalistes en France qu’il faut lire. Nous y trouvons aussi un reportage sur les Serbes du Kosovo martyrisés par les musulmans albanais dans l’indifférence générale et d’autres choses encore dont une présentation de grande qualité de la liste « Unis pour Nancy » qui s’est engagée, comme vous le savez, dans la conquête de la municipalité de la capitale ducale de la Lorraine.

Il faut absolument vous le procurer.

 

 

UNE POLITIQUE POUR LE XXI° SIECLE – de Pierre DEBRAY – Editions de Flore,  273 pages – 10 €. En vente aux Editions (10 rue Croix des Petits Champs, 75001, Paris – editions@cercledeflore.fr) ou à la Lorraine Royaliste..

 

Pierre Debray est une figure incontournable du mouvement Royaliste d’Action Française de la seconde moitié du siècle dernier. Rien ne le destinait à cela. Il était né dans une famille républicaine et ne se convertit au catholicisme qu’en 1939. Il participe activement à la résistance et devient un « compagnon de route » du parti communiste jusqu’à soutenir activement Staline. Puis il rencontre Pierre Boutang et devient royaliste. Il tient alors la rubrique « Combat des idées » dans Aspects de la France et anime la revue l’Ordre Français. Dans ce livre nous trouvons une analyse profonde la nouvelle société industrielle qui prend forme dans les années 80, analyse fondée sur l’empirisme organisateur de Maurras. Elle est encore largement valable aujourd’hui, il avait parfaitement prévu les « méfaits de notre actuelle crise de civilisation et désigne l’adversaire principal à combattre, l’ »établissement » et sa technocratie comme nouveau visage du Pays légal » . Il nous donne des raisons d’espérer.

Ajoutons qu’il y a une préface de Philippe Lallement et une postface de Gérard Leclerc.

Vous comprendrez qu’il faut vous procurer ce livre et aider à sa diffusion.

 

 

LOUIS XIV – de Louis BERTRAND -  Editions Via Romana, 379 pages – 23 €.

 

Il s’agit de la réédition d’un très beau livre de Louis Bertrand écrit en 1923. L’auteur, Lorrain d’origine, succédera à Maurice Barrès sous la Coupole en 1925, parrainé par Paul Bourgé et le maréchal Lyautey. Nous notons l’avertissement de notre ami Daniel Heck, lui aussi ancien Lorrain, Président-fondateur du Cercle des Amis de Louis Bertrand, une préface du professeur Jean-Paul Clément et une postface de Paul Bourget, de l’Académie française. Cette œuvre de Louis Bertrand montre notre grand Roi dans sa vie, étudiant son caractère, ce qui permet un « portrait permettant d’éclairer et de comprendre son œuvre comme sa vie ». Avec son style clair  permettant une lecture aisée, il nous fait découvrir le personnage du Louis XIV, le Roi comme le personnage privé.

Il faut vous procurer ce livre. Vous pouvez le commander auprès du « Cercle des Amis de Louis Bertrand », 1 rue abbé de l’Epée, 75005, Paris pour 23 € (le port est offert si vous vous réclamez de La Lorraine Royaliste).

 

LA GRACIEUSE HISTOIRE DE LA PETITE ANNE DE GUIGNE – de Etienne-Marie LAJEUNIE, O.P. -  Editions de Chiré -  BP 70001, 86190 , Chiré-en- Montreuil – www.chire.fr 94 pages – 13 €.

 

La petite Anne de Guigné est décédée d’une méningite le 14 janvier 1922 à l’âge de 11ans. Elle a eu cependant une vie admirable entièrement tournée vers Dieu. Elle devient, si jeune, un « maître spirituel », s’engageant sur les voies de la sainteté après avoir été une enfant difficile et colérique.. Elle est un modèle pour les enfants mais aussi les adultes. Ce livre a été écrit en 1924, soit deux ans seulement après son départ.

Lisez-le et faites le lire, ce livre est édifiant.

 

Jean NEDISCHER

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