( 4 mai, 2021 )

8 Mai, Meeting : LES LIBERTES NE S’OCTROIENT PAS, ELLES SE PRENNENT

 

 

 

Dans cette crise du coronavirus, jamais la question de la liberté de nos concitoyens n’avait été posée. Liberté de déplacement, liberté de culte ou liberté d’expression ne sont que quelques-unes des libertés qui ont souffert de la pandémie. Alors même que la liberté est proclamée sur tous les frontons des mairies, la République continue de rogner les libertés concrètes, nous obligeant à nous rendre compte que les libertés ne s’octroient pas, elles se prennent.

 

L’objectif de ce colloque est de repenser les conditions de la défense des libertés françaises contre la pétaudière métaphysique et les abus de l’urgence sanitaire.

 

 

Participez

  en direct sur internet

Samedi 8 mai à partir de 15h00

 

https://www.youtube.com/channel/UCgYqaZrPyWNEIEKOESjc8IA

 

 

 

15h00 – Introduction par François Marcilhac, philosophe et directeur politique de l’Action française.

 

Reprendre ses libertés localement par Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire et animateur de blogs royalistes.

 

Défendre ses droits, défendre ses libertés par Thierry Bouclier, avocat, écrivain et journaliste à Présent.

 

Nos chères libertés anciennes par Philippe Mesnard, journaliste et membre du bureau politique de l’Action française.

 

 ►Le libéralisme contre les libertés par Olivier Perceval, rédacteur en  chef du site internet de l’Action française et membre du bureau politique de l’Action française.

 

Rester libre à l’ère du Coronavirus par François Bousquet, essayiste et rédacteur en chef d’Éléments.

 

Vive la liberté d’importuner et la liberté d’expression ! par Gilbert Collard, avocat et député européen.

 

17h30 – Conclusion par Benoît Dakin, avocat honoraire au barreau de Dieppe et président de la fédération royaliste de Normandie.

 

( 26 avril, 2021 )

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

 

Le macronisme laisse tout passer

 

« On ne laissera rien passer ! » Ces mâles paroles chez un homme qui ne nous a jamais habitué à la fermeté, sauf contre les gilets jaunes, c’est-à-dire le pays réel, sont-elles vraiment rassurantes après plus de 260 morts depuis Charlie Hebdo ? 

Aujourd’hui, une policière, âgée de 49 ans, mère de deux enfants, égorgée devant ses collègues est l’illustration tragique du fameux « en même temps ». 

Et les « experts », du haut de leur expertise, viennent expliquer sur les plateaux télé avec des têtes de croque-morts que le risque zéro n’existe pas !

Ne rien laisser passer dites-vous M. Macron ?

Pourtant on laisse tout passer quand l’immigration massive, incontrôlée, légale et illégale continue de traverser nos frontières. 

On laisse tout passer quand s’installe la haine raciste des décoloniaux, qu’on se met à genoux devant eux, qu’on a honte de nos ancêtres et qu’on parle en anglais de « déconstruction de notre Histoire » !

On laisse tout passer, quand on frappe uniquement sur les nationaux lanceurs d’alerte en faisant planer le spectre du danger fantasmé de l’extrême droite. 

Enfin, aujourd’hui, on a tout laissé passer en accordant à ce meurtrier tunisien après dix ans de clandestinité, un titre de séjour permanent pour obéir aux ordres de Bruxelles. 

La machine de transformation radicale de notre société lancée par les hypers capitalistes, qui règnent notamment à Davos, comporte de sordides dommages collatéraux et c’est le peuple de France qui paye la note de son sang !

Le Bureau Politique de la Restauration Nationale – Action Française

( 26 mars, 2021 )

Des militants d’Action française dénoncent l’islamo-gauchisme dans l’hémicycle du conseil régional d’Occitanie

 

Lu sur « Boulevard Voltaire »

 

 

Une dizaine de militants d’Action française se sont introduits, le jeudi 25 mars, à , dans l’hémicycle du conseil régional d’Occitanie, où se tenait une assemblée plénière, pour déployer une banderole dénonçant l’islamo gauchisme.

L’un des participants à cette action militante témoigne au micro de Boulevard .

 

Aujourd’hui, la séance du conseil régional d’Occitanie a été perturbée. Lorsqu’on regarde la vidéo, on entend des cris et, quelques instants plus tard, on voit une banderole dénonçant l’islamo-gauchisme. Vous étiez présent, pouvez-vous nous expliquer qui vous êtes et quelle est votre revendication ?

J’étais présent à l’opération et j’en étais le responsable. La revendication fait polémique en ce moment et portait sur l’islamo-gauchisme. La républicaine est particulièrement affolée par l’émergence de ce terme puisqu’elle le récuse avec beaucoup de vigueur. Nous avons voulu montrer la réalité concrète de ce terme. L’exemple parfait que nous avions sous la main était celui de Carole Delga, présidente du conseil régional d’Occitanie qui répond tout à fait à cette étiquette d’islamo- gauchisme.

On le rappelle, vous êtes membre d’Action française. Cette action a été accusée d’être un mouvement d’. Vous avez été accusé de violence par, notamment, les élus de La insoumise de ce conseil régional. L’action violente est-elle un moyen de faire passer des messages ?

Il faut modérer cette accusation puisqu’il n’y a pas eu de violence à proprement parler. Il y a seulement eu de la bousculade entre nous. Nous tentions de faire une action pacifique en montrant simplement une banderole. Les vigiles, eux, se sont opposés d’une façon assez vigoureuse. Nous n’avions pas pour objectif d’être violents.
Les accusations qui nous sont portées correspondent à une volonté de nous présenter comme opposants d’une extrême imaginaire et victime d’une action qui serait particulièrement violente, alors que ce n’était pas le cas.
Le fait que l’action porte principalement sur Carole Delga et que La France insoumise vienne se positionner veut bien dire qu’ils se sentent concernés par le terme que nous avons évoqué.

La députée Obono a partagé votre action en déclarant que vous repreniez à votre compte le discours haineux de la Macronie et du système médiatique à l’encontre de ces personnalités de gauche qui seraient sensibles à l’islamisme. Vous voyez-vous comme un allié objectif du gouvernement ?

Non, vraiment pas. C’est une accusation tout à fait qui n’a pas vraiment de réalité fondée.
Nous avons voulu montrer une réalité concrète. Madame Delga accorde tout de même des financements importants, que ce soit à SOS Méditerranée ou une enveloppe de 1.000 euros accordée pour chaque entré en Occitanie. Elle a inauguré la grande mosquée de Toulouse, alors que l’on sait qu’elle est en partie financée par le Koweït et l’Algérie. Son imam est connu pour faire des prêches radicaux et violents.
Lorsqu’un élu finance à ce point et se positionne par sa présence symbolique à ce genre d’inauguration, c’est qu’il y a bien un islamo-gauchisme. Nous ne nous présentons pas du tout comme des alliés du gouvernement qui sont jusqu’à présent tout aussi laxistes que la gauche républicaine.

 

HONNEUR A CES MILITANTS ! LR

( 25 mars, 2021 )

L’Action Francaise est-elle encore utile ? Interview de Francis Venciton, par Marie Liesse Chevalier.

 

Lu sur « lafautearousseau »

 

 

Francis Venciton est le secrétaire général adjoint de l’Action française (AF) . A 29 ans , ce philosophe et journaliste aide à la vie du mouvement royaliste en soutenant les sections locales  et en organisant le camp d’été qui a lieu à Roanne du 22 au 29 août.  Il est militant depuis 6 ans . 

L’EL : Qu’est ce que l’Action française et pourquoi t’es tu engagé dans ce mouvement précisément ? 

L’Action Française est le plus vieux courant royaliste, mais c’est aussi une école de formation et un laboratoire des idées maurrassiennes . Trois grandes figures de pensée guident cette école : Maurras , Bainville et Daudet . Ils sont surnommés la trinité d’AF.  Cependant, le royalisme d’Af, quelquefois qualifié de néo-royalisme, s’appuie sur une conception spécifique de la monarchie qui doit répondre au quadrilatère maurrassien.

 

Quatre principes nous tiennent à cœur pour définir la monarchie que nous souhaitons: l’hérédité, la tradition , la décentralisation et l’antiparlementarisme .

 

L’hérédité car elle permet d’éviter les guerres en permettant une continuité du pouvoir politique et donc une certaine stabilité. La tradition répond à ce même enjeux à condition de bien comprendre que toute tradition est critique. Un roi traditionnel est un roi qui s’appuie sur ce qu’il sait fonctionner, il est expérimentateur et non pas un roi incapable de changer la moindre chose. La décentralisation et l’antiparlementarisme correspondent à la remise en place de l’ordre politique, car nous désirons que les gens se sentent concernés et soient écoutés sur des sujets politiques légitimes. C’est d’ailleurs l’un des reproches que nous faisons à la république qui , sous couvert d’égalité , appelle le peuple à voter aux élections mais ne va pas leur demander leur avis pour construire un rond-point inutile qui va coûter 1 million d’euros aux contribuables locaux. C’est d’ailleurs une vraie question que d’essayer de comprendre l’obsession des élus français pour la construction des ronds-points ? Est-ce par habitude de nous faire tourner en rond ou une prescience géniale des Gilets Jaunes ? Allez savoir…

Quant à mon engagement au sein de l’AF ,ça a commencé un peu par hasard. J’ai commencé en politique en étant  élu au conseil étudiant de la vie universitaire (CEVU) à Paris IV Sorbonne au sein du syndicat étudiant AGEPS qui était pudiquement de centre gauche… J’étais déjà royaliste avec, à l’époque, une certaine fougue anarchiste qui pourrait paraître coupable à certains Un de mes amis a été nommé chef de section à l’AF et m’a invité à venir découvrir l’Af que je ne connaissais que dans les livres. Une fois arrivé au mythique 10 Rue Croix des Petits Champs (NDLR : l’adresse du siège d’Af), il m’a immédiatement nommé son adjoint. J’étais surpris mais la camaraderie avant  tout, ! Six ans après , j’avoue que je ne regrette toujours pas !

 

L’EL : La camaraderie semble donc être également un principe moteur de votre mouvement. L’Action française n’est-elle pas en simplement un regroupement de jeunes en quête de mythe et de camaraderie ? 

L’Action Française compte 3000 adhérents avec une majorité de jeunes certes, mais avec une part substantielle d’anciens et de grands anciens. Je ne suis plus moi-même vraiment un jeune.  Il y a une grande diversité dans chacun de ces profils , contrairement aux idées reçues. L’image que l’on se fait de l’Action française, soit un catholique nostalgique embourgeoisé cherchant un frisson militant, n’apparaît que dans des tribunes écrites par un chouineur qui prend Internet bien trop au sérieux.

Cependant, il est vrai que pour beaucoup de militants, le passage à l’AF constitue quelques années de jeunesse. Mais elles ne sont pas à négliger, car elles permettent tout de même d’acquérir une solide structure intellectuelle .

En fait à l’Af , le principe c’est un peu celui du Mcdo “ Venez comme vous êtes » . Je préfère que nous soyons ouverts à tous et donc que nous essayions de faire grandir chaque jeune, quel que soit son passé et son histoire que de sélectionner drastiquement des profils précis pour intégrer notre mouvement. Nous défendons le pays réel, pas une coterie de privilégiés qui se donnent des claques sur l’épaule en buvant des bières. Nous acceptons les français dans leurs diversités. Ma plus grande fierté c’est quand je vois des types  un peu paumés qui arrivent en sapin de Noël avec des rangers et un bombers et qui , grâce à notre formation, sortent de la marginalité, développent des compétences et lisent des livres.

 

“La jeunesse actuelle est désespérée nous dit-on dans les médias, et alors ? Je pense que leur proposer un idéal ne peut que les aider, même si l’idéal d’un roi semble un peu lointain .”

 

L’important c’est que nous fassions du bien aux gens, que nous servions le bien commun (qui est d’ailleurs le nom du magazine d’AF).C’est un objectif qui peut paraître modeste pour une structure politique : nous ne promettons pas la fin du mâle blanc hétéro cisgenre ou la fin du mal, mais le bien commun est au cœur de notre action. Si nous ne servons pas les français, autant disparaître.

Plus encore, l’intérêt de l’AF aujourd’hui c’est de perpétuer les idées royalistes en France , de proposer une solide école de formation ( même Médiapart le reconnaît !) et de mener des actions concrètes pour attirer l’attention du peuple Français sur certaines questions précises. La manière dont quelques chefs d’entreprises ont vendu Latécoère est un scandale et l’Action française a été en première ligne pour dénoncer cette honte.

 

L’EL: Vous dites que l’idéal d’un roi semble lointain . Le retour du roi , vous y croyez?

En URSS , le Parti Communiste était persuadé que ce régime durerait au moins un siècle . Il est tombé en 2 ans . La Chute des régimes est très rapide et l’histoire l’a prouvé de nombreuses fois, y compris lors de la Révolution française . Il n’est pas impossible que cela arrive de nouveau. L’histoire n’est pas un processus figé.

Comment ? Où ? Quand ? On ne sait pas . Mais gardons à l’esprit que ce n’est pas inimaginable .

 

“Une étude récente prouve que 1⁄3 des Français sont favorables au retour d’un roi .” 

 

Quant à savoir qui pourrait incarner ce roi , on fait une distinction entre un devoir de fidélité et notre envie personnelle .

Ce qui nous intéresse c’est le principe et la personne .“ Le Premier à Reims” dit un adage militant !  Tant que le projet du prétendant sert le Bien commun et donc l’intérêt du peuple , nous soutenons la personne . Le plus important c’est la réforme des institutions , même pas le retour du roi en soi Mettre un roi pour ne rien changer n’est pas une stratégie viable et ne répond pas à notre objectif de servir le bien commun. N’oublions pas que l’Action française est un mouvement Républicain à la base !

 

L’EL: Justement , pouvez-vous expliquer brièvement les origines de l’Action française ? 

En gros , tout part de la Ligue de la Patrie française qui a un succès immense et des membres prestigieux, sauf qu’ils sont incapables de proposer des mesures de réformes concrètes et se contentent de rassembler les avis mécontents . L’Action française se crée en réaction à cet échec pour proposer une amélioration des réformes en vue du bien commun . Parmi les premiers rédacteurs se trouve Maurras qui est le seul royaliste . Il va convaincre les autres que pour être des nationalistes cohérents, il se doivent d’être royalistes . Nait ainsi ce qu’on appelle le “ nationalisme intégral”. Ce dernier terme est d’ailleurs à comprendre dans le sens de complet. Si on a résolu de défendre le cercle de la nation comme le cercle politique le plus important,  . Il est synonyme d’amour et de défense de la nation en tant qu’entité politique et non pas d’un désir de guerre à tout crin contre tout le monde .

Nous avons choisi le terme de nation et non de terre des pères . Nous sommes attachés à la terre de nos ancêtres et désireux de perpétuer son héritage mais ne sommes pas fermés à ceux que de nouvelles personnes y soient accueillies si tant est qu’elles désirent servir le bien commun .

 

L’EL: Vous évoquez souvent cette notion du bien commun ; pouvez-vous nous la définir ?

Le bien Commun est synonyme d’intérêt national .C’est le développement d’un engagement au service de la France . Par exemple , l’AF a fait partie de l’union sacrée sur le principe de  “la France d’abord ». Ramener le roi sur le trône c’est l’objectif ultime. Mais pour ce faire , nous ne sommes pas prêts à tous les sacrifices , c’est pourquoi on appelle nos militants à voter pour participer à la vie du pays et donc au bien commun . La défense de la monarchie n’est pas une excuse pour se désencombrer de l’engagement politique dans ce qu’il a de plus noble (et donc qui ne se limite pas aux élections).

 

L’EL: Quel est le rapport de votre mouvement avec la religion catholique ? 

Le royalisme en tant que tel n’est pas forcément catholique, prenons l’exemple du Laos ou du Maroc. Cependant la France à une tradition catholique indéniable , en témoignent les nombreuses églises et les noms des rues . Le roi doit donc avoir le respect de la religion catholique , ce qui est un gage de stabilité et de tradition . Qu’il soit catholique et plus encore bon catholique, c’est même mieux encore. Mais on ne doit pas oublier que beaucoup de rois ont été excommuniés et que l’Église a parfois eu des prêtres qui outrepassaient leur fonction. Nous ne voulons pas que les curés fassent de la politique . Le royalisme d’AF n’a pas pour but de remettre le catholicisme au centre de la société : que nos évêques s’en chargent, nous nous occuperons du reste.

Plus fondamentalement, nous avons des militants catholiques , musulmans, juifs, voire zoroastriens … Cela ne pose pas de problème. Nous sommes un mouvement aconfessionnel.

 

L’EL: Pour conclure , quels sont vos modèles , personnellement ? 

Tout d’abord, je citerai Jehanne d’Arc en tant que modèle et mystère. Pourquoi Dieu a-t-il envoyé une Sainte pour sauver la France ?  Voilà qui dépasse l’entendement. Plus encore, quand on lit Jehanne, l’on s’aperçoit rapidement qu’elle est le feu et la jeunesse. Elle pique et frappe.

Ensuite,  Rodolphe Crevelle, fondateur de l’anarcho-royalisme en France , pour son militantisme durable et ses qualités propres . J’ai accompagné cet homme qui est devenu pour moi un mentor

Enfin je dirai Babar en tant que modèle d’un souverain modéré au service du bien commun qui assume un nationalisme de paix. Babar, sous des airs enfantins, c’est une vraie philosophie politique.

Source : https://letudiantlibre.fr/

( 16 février, 2021 )

Haro sur la liberté d’expression!

 

Paris, le 16 Février

 

Communiqué de Presse

 

Certes, notre conception de la nationalité diffère de celle de Génération identitaire. L’AF n’est pas obsédée par le critère ethnique en la matière et, surtout, n’adhère pas à l’idée d’identité européenne. Toutefois, nous partageons avec cette formation politique (et non ce «groupuscule d’ultra-droite » comme le chantent en chœur les médias, plus pressés de répéter les éléments de langage du gouvernement que de suivre une neutralité déontologique), mais aussi avec la grande majorité des Français, la volonté de défendre la France contre l’immigration massive qui menace de la submerger, de détruire sa civilisation et de rendre impossible toute assimilation des populations d’origine étrangère qui seraient encore désireuses de s’y intégrer.

Les jours qui viennent nous diront si le ministre de l’Intérieur, aussi inutile et inefficace que ses prédécesseurs, placé là pour donner les apparences de la fermeté alors que nos frontières demeurent les passoires que l’on sait, parviendra à ses fins contre Génération identitaire.

Mais l’issue de cette affaire ne sera pas sans conséquences et elle intéresse tous les opposants au pouvoir en place. En effet, s’il est possible de dissoudre un groupe qui n’a jamais enfreint la loi, qui a gagné tous les procès qui lui ont été intentés, au seul motif qu’il dénonce le péril migratoire, alors c’est la liberté d’expression et la possibilité même d’une opposition à la Macronie qui se trouveront dissoutes.

La Restauration Nationale, Centre Royaliste d’Action Française

( 4 février, 2021 )

POURQUOI S’ENGAGER A L’ACTION FRANÇAISE ?

 

 

 

VIENT DE PARAITRE

Un très bon petit livre réalisé sous la direction de François Marcillac avec une préface d’Hilaire de Crémiers et  une posface de Stéphane Blanchonnet.

POURQUOI S’ENGAGER A L’ACTION FRANÇAISE ?

 

Il est édité par les Editions de Flore

A lire et faire lire absolument

Il est en vente (10 € seulement) à la librairie des 2 Cités, 6 grande rue à Nancy

Peut être une image de une personne ou plus, vêtements d’extérieur et texte qui dit ’POURQUOI S'ENGAGER À L'ACTION FRANÇAISE? Sous la irection de François Marcilhac Préface d'Hilaire de Crémiers Editions EditionsdeFlore de Flore’

( 14 janvier, 2021 )

Nouvelle section d’Action française : Metz.

 

 

 

L’Action Française débarque à Metz !
Des jeunes motivés ont décidé de se rencontrer pour défendre les intérêts de la capitale mosellane et de ses habitants, comme ceux de la nation française.
Pour défendre l’héritage en attendant l’héritier, rejoignez l’AF Metz !
 
( 18 décembre, 2020 )

Qui sont les royalistes d’aujourd’hui ?

 

Répondez tous

 

 

 

Onze ans après la grande enquête de SYLM (Support Your Local Monarch), l’Action française vous invite à participer à un rapide questionnaire en ligne afin de dresser un nouvel état des lieux du royalisme en France.

Que vous soyez simple lecteur du bien commun, sympathisant de la cause royale, ou royaliste convaincu; prenez quelques minutes pour nous donner votre avis ! A vos ordinateurs ! 

https://bit.ly/enqueteroyalisme

Source : https://www.actionfrancaise.net/

( 27 novembre, 2020 )

Plus que jamais, la monarchie !

 

Lu sur « actionfrancaise.net »

 

La solution apparaît clairement : abattre la République et restaurer l’unité nationale derrière le Roi, garant des libertés. De cette crise, il nous faut tirer la certitude d’agir et de réclamer plus que jamais la destruction de la République.

Flinguer la République n’est pas l’exécution d’une passion nihiliste, c’est un service à rendre aux Français. Mettre à bas nos institutions n’est pas encourager le chaos mais ramener l’ordre.

La figure d’Antigone nous apprend que le pouvoir inique est toujours vecteur de désordre et que les lois supérieures de la cité impliquent de le refuser. Les matraquages des manifestants, de la Manif pour tous à la réforme des retraites, les Gilets jaune éborgnés, les morts inutiles de la mauvaise gestion du Coronavirus sont autant de raison d’agir contre la République.

Nous en appelons à une monarchie fédérative, populaire, de salut public.

Formons nos lignes. La monarchie n’arrivera ni sans une élite formée, ni avec des royalistes de salon. Il convient de faire disparaître la République aujourd’hui et de faire de la monarchie un véritable facteur de paix et de conquête sociale. Un régime n’a de valeur qu’au regard de son respect de la nature sociale de l’homme et de son efficacité dans la sphère publique et dans la défense des libertés particulières.

C’est la durée et la continuité de la politique royale qui a permis la constitution de notre nation.

Laissons le dernier mot à Maurras : « L’avenir se fait par des minorités pleines des énergies du cœur et de la raison. Les objections, les répugnances même, perdent toute signification dès que l’on a repris contact avec ce “nom oublié du Roi”. D’abord surpris de se réveiller royaliste, on s’étonne bientôt de ne pas l’avoir été de tout temps. »

François Bel-Ker, 

secrétaire général de l’Action Française

( 24 octobre, 2020 )

Livre • La France a besoin d’un roi

 

Lu sur « Je Suis Français »

 

 

À la France il faut un roi

Voilà un petit livre qui donne à réfléchir. Il n’est
petit que d’apparence.

Le Père Michel Viot, ancien pasteur luthérien, devenu prêtre catholique, et de ce catholicisme qui imprègne l’intelligence en tous domaines, n’hésite pas à aborder la question capitale des institutions politiques.

Livre • La France a besoin d’un roi dans informations royalistes la-france-a-besoin-d-un-roi-187x300

Pour lui, à la différence de bien des clercs qui dans la suite du Ralliement à la République de Léon XIII pensaient que cette question était indifférente, le régime d’un pays comme la France commande l’essentiel de sa vie et de son devenir. Le régime républicain, par définition, est destructeur de tout ce qui constitue la France. Ne pas le comprendre, c’est n’avoir aucune intelligence de l’histoire de notre nation.

L’essai est complet, autant historique qu’actuel. Le principe de légitimité politique s’est forgé à partir de Clovis et à travers la succession des dynasties pour s’affermir avec les Capétiens.

L’auteur explique admirablement pas seulement saint Louis, mais Philippe Le Bel et Louis XIV. Ni les Bonaparte ni le général de Gaulle n’ont réussi à instaurer une nouvelle légitimité. La Ve République est une fausse monarchie qui ne représente ni le peuple ni la France.

Sa nature est profondément immorale. On ne peut que partager le jugement sévère du Père Michel Viot. Elle montre son incapacité à régler la question de l’Islam qu’elle ne comprend pas, opposant sa fausse laïcité qui n’est qu’un vide, une sorte de religion à l’envers, à une conception globale de la vie qui l’emportera toujours sur elle.

Elle ne sait même pas affronter une épidémie où son agitation sans principe aggrave la situation au lieu de la corriger.

La démonstration s’achève en réquisitoire. Le jugement ne peut être qu’implacable. 

 Hilaire de Crémiers

La France a besoin d’un roi,
Père Michel Viot,
Via Romana, 295 p., 12 €  


Article précédemment paru dans Politique magazine

vignette-195-copie-1-214x300 dans informations royalistes

 

5d417769488c7b1a628b4567-300x97

 

123456...23
« Page Précédente  Page Suivante »
|