Le Groupe d’Action Royaliste communique :
L’Action Française a publié hier 16 juin le communiqué qui suit.
Le premier tour des législatives a révélé à quel point la démocratie représentative est une pure fiction : plus de 50% du corps électoral ne s’est pas déplacé, et ce corps est lui-même inférieur à la population en âge de voter. Les Français rejettent un système qui les exclut eux-mêmes en les frustrant d’une vraie représentation.
Nous avons déjà dit ce qu’il faut penser de ces élections législatives. Maintenant que les résultats du 1er tour sont tombés, il faut préciser quelques points.
Macron est le président le moins nationaliste qu’on ait jamais eu, il est hors de question de voter pour ses larbins.
La NUPES, malgré son opposition à l’UE et les positions individuelles parfois intéressantes de certains de ses membres, représente un danger totalitaire encore pire que celui de Macron.
Le jeu faussé de la démocratie ouvre néanmoins une possibilité d’empêcher Macron de prétendre gouverner démocratiquement.
En conséquence, l’Action française recommande aux Français :
• de voter RN partout où le RN est au second tour, puisque le RN est, hélas, le seul parti patriote encore présent ;
• en l’absence de candidat RN, de voter pour un candidat dont les prises de position témoignent de son souci de la France et du bien commun ;
• de s’abstenir dans tous les duels NUPES/Macron, sauf dans le cas où la victoire de la NUPES permettrait d’éliminer un ministre de l’actuel gouvernement ou une figure marquante du parti présidentiel ;
• et même de s’abstenir tout court, pour que cette chambre soit dépourvue de toute prétendue légitimité démocratique.
Ce n’est pas avec des partis obsédés par leur financement ni avec un président qui n’aime pas son pays que les Français pourront vivre en paix : la France a besoin d’un roi, au-dessus des partis, dont l’intérêt se confond avec celui du pays. ■
Communiqué de LA RESTAURATION NATIONALE -
CENTRE ROYALISTE D’ACTION FRANCAISE
Pour tous les patriotes soucieux de leur pays, cette élection présidentielle a comme un air de déjà-vu. Encore une fois le candidat du pays légal l’emporte contre un candidat souverainiste ; encore une fois le président est élu avec un score minoritaire, entre une abstention pléthorique et un barrage « républicain » déconnecté des intérêts de la nation. Presque 1 Français sur 3 s’est abstenu. Comme quoi nos compatriotes croient de moins en moins à l’élection présidentielle et la campagne n’est pas cette rencontre entre un homme et le peuple mais une mascarade qui laisse indifférents de plus en plus de Français. Comment les blâmer de bouder ce théâtre de dupes organisé par le système technico-bureaucratique ?
Il n’empêche que les nationaux ont représenté 42 % des votes. Un nombre croissant de Français expriment leur rejet de l’Union européenne et la volonté de rendre à la France une politique au sens le plus noble du terme. Ceux-là ont compris que la réélection de Macron n’est pas une bonne nouvelle : recul de l’âge de la retraite, euthanasie, pillage du patrimoine industriel… Voilà quelques-unes des promesses d’un président qui a manifestement très envie de les « emmerder ». Aux patriotes et aux Français de lui montrer qu’ils ne se laisseront pas faire ; nous serons de ceux-là.
Comme annoncé depuis des mois. Le second tour de cette présidentielle, ô combien navrante, verra s’opposer, comme en 2017, Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Cette mascarade qu’est la démocratie libérale impose la défaite aux Français qui sont réduits à choisir pour le moindre mal. Ici, ce moindre mal s’appelle Marine Le Pen.
Néanmoins si elle est élue, Marine Le Pen devra batailler pour obtenir une majorité parlementaire et espérer pouvoir gouverner. Ses constants reculs sur l’Union Européenne (pour ne citer qu’eux), entachent sa capacité à pouvoir mener une politique nationaliste. Il faut garder à l’esprit qu’elle ne sera qu’un sursis pour notre pays, pas une solution, comme tout chef d’Etat en république, ce régime qui ne permet, au mieux, que de défendre notre héritage alors qu’il devrait être bonifié.
Souvenons-nous que le combat nationaliste continue et que cette étape n’en est qu’une sur un long chemin vers une nation apaisée et sauvée. L’Action française continuera de défendre l’héritage de nos 40 rois qui en mille ans, firent la France.
Le 12 mars dernier se tenait dans les locaux parisiens de La Restauration nationale le congrès des cadres de l’AF. Environ quatre-vingts chefs de section, présidents de fédération et cadres nationaux étaient réunis à la suite de la nomination par le Comité Directeur de l’Action française de Francis Venciton en remplacement de François Bel-Ker à la fonction de Secrétaire général du mouvement. En effet après trois mandats de trois ans, celui qui a opéré un redressement spectaculaire de notre mouvement n’a pas souhaité poursuivre. Ce chef rigoureux, méthodique et proche des militants fut ovationné au cours de la petite fête donnée en son honneur qui fut organisée à la suite d’une longue journée de travail, dont un compte rendu substantiel sera publié prochainement.
Depuis 1955, l’Action française a toujours eu à sa tête un Secrétaire général pour diriger son mouvement. De 1955 à 1980, Pierre Juhel fut l’homme de la continuité. Cet ancien chef d’équipe des Camelots du Roi, solide militant et entraîneur d’hommes hors pair, a permis à La Restauration nationale de reprendre sa place durant trois décennies au service de l’intérêt national. À son décès, Guy Steinbach, ancien résistant, président de l’Association Marius Plateau (Association des anciens combattants d’Action Française) le remplaça durant une décennie. De 1991 à 1994, Bernard Bonnaves, connu pour son travail remarquable réalisé dans le Doubs à la tête de sa section, fut le Secrétaire général de la Génération Maurras. Stéphane Tilloy lui succéda, il occupera le poste jusqu’en 1997. Suite à la séparation fratricide de 1998 entre l’AF de Pierre Pujo et celle d’Hilaire de Crémiers, Nicolas Kayanakis, ancien responsable du réseau OAS Métropole Jeunes, devint secrétaire général jusqu’en 2001, date à laquelle Pierre Pujo, président du Comité Directeur d’Action française, décida de nommer des responsables nationaux à l’organisation plutôt qu’un Secrétaire général. Au décès de Pierre Pujo en 2007, Olivier Perceval, qui dirigeait le Groupe de Liaison Royaliste, fut appelé pour remettre en place une équipe et rassembler la famille d’AF (La Restauration nationale et le Centre Royaliste d’Action française fusionnèrent finalement en 2018). En 2013, François Bel-Ker, ancien chef de section de Clermont-Ferrand et fondateur du Printemps français, lui succéda.
L’Action française connaît une ascension fulgurante depuis une dizaine d’années. Lycéens, étudiants et jeunes professionnels adhérent en nombre et l’Action française retrouve la Une des médias. Cette jeunesse vient pour la formation, par patriotisme, pour embrasser une cause qui la dépasse. Francis Venciton est de cette jeunesse-là. Né dans une famille de chrétiens de gauche, Venciton a pour unique certitude que la vérité politique passe par les livres. Après quelques années à échanger, lire et assister aux conférences, c’est au milieu des années 2010 qu’il adhère à l’AF. Militant au sein de la section de Marseille, il connaîtra les affres de la vie de notre local de la « rue Navarin », entre les attaques de nos adversaires et les manifestations pour défendre les intérêts français.
Ayant une soif insatiable de connaissances, Francis Venciton a pleinement intégré l’axiome maurrassien, « A la main une bonne canne, dans la poche un livre » : les auteurs maurrassiens n’ont pas plus de secret pour lui que les auteurs classiques, que ceux d’en face, que ceux d’à côté…
Intervenant à Sciences-Po et à Harvard, écrivant régulièrement dans la presse – Le Bien commun, La Nouvelle Revue Universelle, Présent – il fonde L’Insurgé, le journal insolent de la jeunesse d’AF. Après avoir coécrit un ouvrage sur l’écologie aux Éditions de Flore, il relance la revue de poésie Points et contrepoints qu’il dirige toujours à ce jour. Ses études de philosophie éthique et politique appliquée ne sont jamais vraiment bien loin…
Après avoir pris la direction des cercles d’études lycéens et étudiants, il est nommé responsable du Cercle de Flore et de l’Institut d’Action française, et c’est en 2020 qu’il devient Secrétaire général adjoint avec déjà pour mission de remplacer François Bel-Ker à la fin de son mandat.
Plaqué Camelot du Roi en 2021, c’est comme héritier de cette élite de militants politiques que bien des mouvement nous envient que Francis Venciton accepte cette fonction et celle de membre du Bureau Politique du mouvement.
Toujours en première ligne, que ce soit dans la rue ou dans le domaine des idées, on peut compter sur le nouveau Secrétaire général pour que la dynamique stimulante de ces dernières années non seulement perdure mais se démultiplie.
EPINAL
Vendredi 21 Janvier
Messe de requiem
18 h 30
Eglise Saint Laurent
Place du souvenir
NANCY
Dimanche 23 Janvier
10 h 30
Eglise Marie-Immaculée
Cela fait deux ans que la jeunesse se donne maintenant rendez-vous à Paris pour une marche en l’honneur de Louis XVI. Cela fait deux ans que, malgré les difficultés, plusieurs centaines de jeunes acceptent de défiler pour honorer un roi méprisé du plus grand nombre.
Notre organisation, le Souvenir de Louis XVI, est née de la volonté de restaurer avec force cette habitude qu’avaient les Français fidèles à la mémoire de la monarchie française d’honorer celui qui était symboliquement considéré comme le dernier roi de France. Cette commémoration n’est pas de la nostalgie ou un refus de la situation actuelle, mais plus un appel adressé à tout le peuple français pour qu’il arrête de rougir de son passé
Nous avons entre 18 et 25 ans, nous appartenons à une génération qui a grandi au cœur d’une république toujours plus présente dans le quotidien des Français. À l’école, on nous a appris que la révolution était un mouvement libérateur, qui a tué un tyran qui était un ennemi du peuple pour instaurer un système juste et équitable. Mais nous appartenons à une génération qui a refusé de se laisser dicter une fausse Histoire de France occultant les massacres révolutionnaires, les guerres de Vendée et la Terreur. Nous avons vu les inégalités et l’humiliation continuelle du peuple français par des gouvernements se revendiquant chefs du peuple, par le peuple, pour le peuple.
Cette marche n’est donc pas qu’une commémoration mais le manifeste d’une jeunesse qui a décidé de construire sur des fondations réellement françaises plutôt que sur des concepts toujours plus abstraits car toujours plus vidés de leur sens. Il nous faut fêter cette jeunesse militante et fière de son passé, il faut qu’elle commence à se retrouver et à se regrouper pour construire ensemble son avenir. La marche se déroulera cette année le 22 janvier. Pour toutes informations sur le lieu et l’horaire, je vous demande de nous contacter sur nos réseaux sociaux ou à l’adresse électronique
Article paru dans Politique magazine.
Chers Amis,
A l’approche de l’ An neuf et dans la joie de l’Octave de Noël,
l’association Les Vosges royales
vous adresse ses meilleurs vœux de continuation de bonnes et saintes fêtes de la Nativité.
En ce 229ième anniversaire de l’ignoble exécution
de Sa Majesté le Roi Louis XVI
une messe de requiem
sera célébrée pour le repos de l’âme des membres de la Famille royale
ainsi que des victimes de la Révolution martyrisées au nom de leur foi.
Cette messe sera célébrée selon le rite tridentin par Monsieur l’Abbé Sauvonnet
le vendredi 21 janvier 2022 à 18h30 en l’église Saint-Laurent à Epinal.
Cet office sera suivi d’une réunion à proximité dans un local privé et agrémentée d’une collation suivie du partage de la galette des rois ;
aussi nous vous prions de nous prévenir le plus tôt possible de votre présence afin
de pouvoir organiser au mieux les commandes
(pizzas et galettes).
Cette réunion débutera par une allocution évoquant les symboles qui peuvent être attachés à cet évènement terrible qui rendit les Français orphelins.
Avec nos sentiments royalistes les meilleurs,
Le bureau des Vosges royales
La fête de Noël est un message d’espérance.
Depuis plus de deux mille ans elle rappelle au monde qu’il peut, un instant, détourner ses regards de toutes ses peines et ses craintes qui ne sont plus, désormais, l’essentiel.
À nous français, elle nous redit le devoir de courage et de fermeté dans lequel nous devons persévérer pour combattre les puissances du mal et les forces obscures qui s’agitent. Elles s’acharnent à détruire les fondements naturels de la société, s’attaquent même au cours naturel de la vie et menacent de disparition la Fille ainée de l’Église.
Au nom de l’Action française je souhaite à toutes les familles françaises des moments de paix et de joie. Qu’elles trouvent, au pied de la crèche, l’énergie et la détermination nécessaire à la poursuite de la défense de notre civilisation, fille de nos racines chrétiennes.
Joyeux Noël !
Henri BEC
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